SPOSTAMENTO
27 avril au 2 mai 2004 / Galerie Tirrena, Turin, Italie
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Galerie Tirrena, 27 via Arsenale, Turin.
www.commune.cento.fe.it
Oeuvres présentées
Le linge de Véronique
Solitaire, biscottes
Petits déjeuners
Cariatide
MULHOUSE 006
16 au 20 juin 2006 / Mulhouse-France (76)
Mulhouse 00- est une foire d’art contemporain réservée aux jeunes diplômés d’école d’arts. Elle présente chaque année 200 jeunes artistes séléctionnés.
www.mulhouse.fr
Oeuvres présentées
Distraire 1, 2, 3, 4, 5
Récompense
Le linge de véronique
PRESSE
Nécessité/ luxe : mon travail traite de cette dualité qui me semble aujourd’hui, dans notre société occidentale qualifier plus justement l’opposition nature/culture. J’explore cette dualité à travers les rituels développés autour de nos besoins fondamentaux : manger, courtiser, procréer, chasser… avec des affiches, livre et installations.
Des rituels qui ont servi à nous réunir et qui progressivement se sont éloignés de leur origine (la nécessité de l’acte) et sont devenus des activités de loisir, de luxe, décadents au bord de l’excès et de l’absurde.
Les différentes réalisations que je propose se situent dans un territoire aux alentours de nos rituels fondamentaux, dans un va-et-vient d’écarts, tendus entre nécessité et luxe (au bord de la vie « réelle ») et cependant ancrées dans un quotidien (collectif ou personnel).
Elles évoquent des objets (machine à laver, livre, miroir…) et exigent une participation à la fois viscérale (plus immédiate) et cérébrale du spectateur.
Des sentiments confus et partagés naissent face à ces pièces qui renvoient chacun d’entre nous à son imagination, ses peurs, ses fantasmes.
Comme une tentative de se remémorer un rêve, de raconter avec des mots des impressions qui résistent à la logique de l’expression verbale. L’association de certaines pièces dans un même espace ne faisant qu’accroître ce processus.
Catalogue Mulhouse 006
-publication réalisée en collaboration avec le magazine Polystyrène, juin 2006
-pagecatalog
LE PAIN, LE JEU
12 au 23 octobre 2005 / Le Mans-France (76)
Cette exposition regroupe les créations d’étudiants diplômés de 5 ème année de l’École des beaux arts du Mans en 2005.
esad-talm.fr/fr/talm/talm-le-mans
Oeuvres présentées
Salle d’attente
Distraire 1, 2, 3, 4, 5
Alexandre
Récompense
PRESSE
Cinq instantanés à l’heure du diplôme.
Jusqu’à dimanche, « Le Pain, Le Jeu » donne un aperçu des travaux de cinq étudiants des Beaux-Arts du Mans. Ils se sont présentés en juin au Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique option art. Depuis, Leïla Meziane a exporté ses dessins, leur imaginaire, leur cruauté dans une école de Bruxelles. A Amboise, Gaylord Decarsin partage son temps entre vie professionnelle et suite de ses travaux d’échange entre musique et vidéo, et Jean-Baptiste Calistru continue à présent ses paysages dessinés et photographiés aux Beaux-Arts de Paris.
Dérives inventives et rituels superflus Adrien Dumont propose au visiteur ses « dérives » où comment « rationaliser au maximum les objets nécessaires à une expérience pour gagner en mobilité ». Revenus de ces expéditions conçues pour accueillir l’imprévu, un vélo et une tente, une maquette de maison où « espace public et espace privé semblent inversés », témoignent de son désir d’invention libre.
Photo, son, sculpture ou installation, Véronique Vilain Vauvert choisit le média selon le sujet abordé. Le corps et ses traces, ce qui lui est superflu ou essentiel, les rituels dont chacun s’entoure, nourissent ses recherches depuis une photo de salle d’attente jusqu’à la création du mannequin Alexandre. Depuis peu, la chasse, « un autre rituel, d’abord nécessaire à la survie puis devenu un loisir », est devenu un de ses matériaux d’études. Pour les cinq jeunes artistes, cette exposition, qui n’est bien sûr pas exhaustive de leurs activités, marque un tournant entre vie étudiante et vie professionnelle. Ce passage devrait attirer l’œil du spectateur.
Armand Meignan, Le Maine Libre,
21 octobre 2005
(Scan file0010.pdf)
Le Pain Le jeu
Expositions arts plastiques 13/10/2005 au 23/10/2005 En prenant pour titre la célèbre expression latine, « Du pain et des jeux », les étudiants, présentés en juin dernier le DNSEP, ont voulu montrer que leurs travaux répondent aussi bien au besoin de créer qu’au plaisir de la création. Ainsi en est-il des immenses dessins de Jean-Baptiste Calistru, souvent réalisés directement dans la nature ou de la « Galerie Punto » que Gaylord Decarsin a monté dans sa voiture ou encore des installations d’Adrien Dumont qui sont autant de façon d’investir un espace. Les dessins muraux de Leïla Meziane ont quant à eux une sorte d’innocence perverse, tandis que dans ses installations et vidéos Véronique Vilain Vauvert sait mettre en évidence le rituel très codé de la chasse à courre. Horaires : Du lundi au vendredi de 13h00 à 19h00, le samedi et dimanche de 14h00 à 17h00.
Artistes présentés : Jean-Baptiste Calistru ; Gaylord Decarsin ; Adrien Dumont ; Leïla Meziane ; Véronique Vilain Vauvert.
CNAP www.cnap.fr (Scan file0014.pdf)
Le Pain Le jeu
le pain/le jeu est le titre de l’exposition des étudiants aux Beaux-arts. La référence doctrinaire ne pourrait être plus claire et nette. Impressions du vernissage.
Est-ce à l’inauguration d’un camping municipal que les foules ont été conviées à l’école des Beaux-arts ? Une œuvre au centre du rez-de-chaussée irrite. Une tente et un vélo et plein de petits objets soigneusement déposés. Voilà l’œuvre d’Adrien Dumont qui expose avec quatre autres étudiants en cinquième année jusqu’à mi-octobre des travaux de fin d’année.
Jean-Baptiste Calistru présente un travail autour du dessin, qu’il exposera en novembre à l’Espal. Véronique Vilain-Vauvert s’est lancée sur les sentiers de la chasse, « devenue un loisir dans notre société occidentale, un rituel qui s’est éloigné de son origine (la nécessité de l’acte) ». Sa sculpture Alexandre est figure de cauchemar : un enfant en veste cirée et bottes, arrosé de boue partout. Frappante dès l’entrée, l’œuvre de Leïla Meziane. Dessins à la craie noire sur le mur blanc. Suite d’une bande dessinée autour d’un trou. Sur l’écran d’à côté tournent ses essais d’animation. Hommage à Edison par Gaylord Decarsin. Peut-on écouter un vinyle avec une chaussure ? De quoi étonner même le maire qui soulignait lors de l’inauguration : » les modes d’expression se nourrissent les uns les autres… »
Le Mans notre ville

ARTE ADESIVA
12 juin au 15 juillet 2004 / Cento, Italie
Oeuvre présentée
PRESSE
L’isolant , communément appelé scotch, me suggéra un jeu curieux, mettant un « r » à la place du « n »c’est devenu « isolarte », qui en effet ne veut rien dire mais qui pourrait devenir une tendance artistique[…] De ces travaux, il est possible de lire un certain équilibre. A travers les différents genres(styles)passant d’une vision optique-picturale, où la bidimensionnalité prévaut avec interstice et superposition qui suggère l’épaisseur et à une série d’œuvre « objet » qui dépasse la précarité pour devenir une forme, un volume. Un exemple est l’homme de Gaylord « trapolla » qui veut dire piège: une figure grandeur nature réalisée en scotch de telle manière que la partie adhésive soit tourné vers l’extérieur, un peu comme un « attrape mouche ». Imposant et inquiétant mais également fragile, l’homme de Gaylord restaure le défi et suggère au spectateur d’autres matériaux comme la résine ou le verre. Jeu d’allusion et d’illusion se succèdent avec la « baignoire » de Léonore Mingo[ …] ou « cariatide » de Véronique Vilain Vauvert, un tube évoquant un étai (structure portante), qui en réalité ne peut rien soutenir …
Monica Saccomandi, Turin, le 22 mai 2004.
Traduit de l’italien